En une argumentation fondée sur des exemples précis, dites en quoi la culture littéraire et artistique que vous avez acquise jusqu'à présent peut contribuer à faire de vous un «honnête homme du XXe siècle», c'est-à-dire à vous rendre lucide, responsable, tolérant.
Publié le 28/03/2011
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Partie du programme abordée: La culture. Conseils pratiques : Ce sujet fait appel directement à l'expérience personnelle, à laquelle il sera donc nécessaire de se référer explicitement; on tiendra compte des mots utilisés dans le libellé : appel à la culture littéraire et artistique (peinture, musique, cinéma, etc.) ; apprentissage de la lucidité (se connaître mieux soi-même), de la responsabilité (mieux mesurer son rapport avec autrui; fin des égoïsmes, etc.) et de la tolérance (ouverture d'esprit sur d'autres cultures et manières de penser).
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- Selon Stendhal, « Toute œuvre d'art est un beau men-songe.» Vous illustrerez et, au besoin, commenterez cet apho-risme en fondant votre argumentation sur des exemples précis tirés de votre culture littéraire et artistique.
- «Un long avenir se préparait pour (la culture française) du XVIIe (siècle). Même encore au temps du romantisme, les œuvres classiques continuent à bénéficier d'une audience considérable ; l'époque qui les a vu naître bénéficie au premier chef du progrès des études historiques ; l'esprit qui anime ses écrivains, curiosité pour l'homme, goût d'une beauté harmonieuse et rationnelle, continue à inspirer les créatures. Avec cette esthétique une autre ne pourra véritablement entrer en concur
- Un universitaire contemporain, Jean Onimus, réfléchissant sur l'étude de la littérature, écrit : « L'inquiétude c'est la vie même de la conscience. Toute vie suppose effort, dépense de forces. Ce que cherchent les élèves trop souvent, c'est une réponse de catéchisme : "ce qu'il faut penser de..." et, dans leurs devoirs, ce qu'ils disent c'est ce qu'ils croient que l'on doit dire. Or le principe de l'enseignement littéraire est de leur faire admettre qu'il n'y a pas de dogme tout fait e
- Un universitaire contemporain réfléchissant sur l'étude de la littérature écrit : « L'inquiétude c'est la vie même de la conscience. Toute vie suppose effort, dépense de force. Ce que cherchent des élèves, trop souvent, c'est une réponse de catéchisme « ce qu'il faut penser de... » et dans leurs devoirs ce qu'ils disent c'est ce qu'ils croient que l'on doit dire. Or le principe de l'enseignement littéraire est de leur faire admettre qu'il n'y a pas de dogme tout fait et qu'à chacun sa
- Paul Valéry écrit dans le Préambule pour le Catalogue