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  APPENDICE E L'Écriture et l'Orthographe       I LA PRONONCIATION DES MOTS ET DES NOMS Le westron

Publié le 15/12/2013

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  APPENDICE E L'Écriture et l'Orthographe       I LA PRONONCIATION DES MOTS ET DES NOMS Le westron ou parler commun a été intégralement traduit en anglais, de sorte qu'on doit prononcer comme l'anglais tous les noms et termes spéciaux en langue hobbite : par exemple, le g de Bolger s'articule comme l'anglais bulge, et mathom rime avec fothom. En transcrivant les anciens manuscrits, je me suis efforcé de représenter les phénomènes originaux (dans la esure où on peut les déterminer) aussi fidèlement que possible, et de former des mots et des noms qui, en graphie moderne, ne paraissent pas trop rebutants. Aux mots du quenya Grand-elfe, on a donné une orthographe aussi proche du latin que ses phonèmes le permettaient. C'est pour cette raison qu'on a préféré c à k dans les deux langues eldarines. On a noté les points suivants à l'intention de ceux qui s'intéressent à ce type de détails.   LES CONSONNES   C                     a toujours la valeur d'un k, même devant e et i : celeb « argent » se prononce keleb. CH                  est utilisé uniquement pour représenter le phonème qui s'entend dans « bach » (en allemand ou en gaélique), et non celui de l'anglais « church ». Sauf lorsqu'il figurait en terminaison, ou avant un t, ce phonème s'atténuait jusqu'à prendre la valeur d'un h dans le parler gondorien, changement attesté dans quelques noms propres, tels que Rohan, Rohirrim. (Imrahil est un nom Númenoréen.) H                  représente le t voisé (le t doux) qui s'entend en anglais dans « these clothes ». Il s'apparente d'ordinaire au d (comme dans galadh « arbre » en sindarin), à comparer avec le quenya aida, mais il dérive aussi parfois de n+r, comme dans Caradhras « Redhorn » qui provient de caran + rass. F                      représente f, sauf en finale où il a la valeur d'un v (comme dans l'anglais of), on a ainsi Nindalf, Fladrif. G                     n'est autre que le g dans « give », « get » : le g initial de gil « étoile », dans les mots composés Gildor, Gilraen, Osgiliath se prononce comme le g dans l'anglais « gild ». H                     employé seul, sans consonne à l'appui, s'entend comme le h dans l'anglais « house », « behold ». La combinaison ht du quenya correspond au phonème cht, qui s'entend dans l'allemand « echt », « acht », c'est le cas du nom propre Telumehtar, « Orion » (Dit Menelvagor en sindarin, et Menelmacar en quenya), voir aussi CH, DH, L, R, TH, W et Y.                        placé en tête devant une autre voyelle prend la valeur consonantique du y dans l'anglais « you », « yore », mais en sindarin seulement, ainsi Ioreth, Iarwain. Voir Y. K                     figure dans les noms tirés de langues non Elfes, il a toujours la valeur d'un c, kh représente ainsi le même phonème que le chorkien (orquien) dans Grishnltkh, ou en adûnaic (en Númenoréen) dans Adunakhor. Sur sa prononciation en parler nain (ou nanien), le Khuzdhul. L                      correspond plus ou moins au l anglais placé en début de mot, comme dans let. Mais placé entre e, i et une consonne, ou en finale après e, i, le l était dans une certaine mesure palatalisé. (Les Eldar auraient probablement transcrit « bell » et « fill », beol et fiol.) LH représente ce même phonème mais non voisé (généralement dérivé d'un sil- initial. En quenya (archaïque) ce phonème s'écrivait hl, mais au Troisième Âge, il se prononçait d'ordinaire comme un l simple. NG                  est le ng de linger, mais en finale on le prononçait comme l'anglais « sing », un phonème qui, en quenya, pouvait aussi survenir au début d'un mot, mais qu'on a transcrit ici par un n (comme dans Noldor), conformément à la prononciation du Troisième Âge. PH                  s'entend comme un f. On y a recours (a) lorsque le phonème f survient en finale comme dans alph « cygne , (b) lorsque le phonème f est apparenté à p, ou qu'il en dérive, comme dans iPheriannath « les Halflings » [les Semi-Hommes], (perian), (c) au milieu de certains mots où il représente un ff long (dérivé d'un pp) comme dans Ephel « les marches frontières », enfin (d) en adûnaic et en westron, comme dans Ar-Pharazôn (pharaz « or »). H                  utilisé pour rendre le kw, une combinaison très fréquente en Kenya, mais inconnue en sindarin. R                     représente un r roulé, quelle que soit sa position. Le r ne s'effaçait pas devant les consonnes (comme c'est le cas, par exemple, pour l'anglais « part »). On dit que les Orques et certains

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