« A mes yeux, détient une parcelle de poésie tout être capable d'évoquer spontanément les sentiers d'une forêt verdoyante devant un feu de bois (...). N'est donc pas étranger à la poésie, celui qui, même placé à ras de terre, découvre à toute chose son aspect céleste, en opposition à celui qui, de la femme, ne retient que le sexe, et du feu de bois son prix de revient. » En prenant appui sur les poèmes précis, vous direz comment vous comprenez ce propos du poète Benjamin Péret (1899-1
Publié le 30/03/2011
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« A mes yeux, détient une parcelle de poésie tout être capable d'évoquer spontanément les sentiers d'une forêt verdoyante devant un feu de bois (...). N'est donc pas étranger à la poésie, celui qui, même placé à ras de terre, découvre à toute chose son aspect céleste, en opposition à celui qui, de la femme, ne retient que le sexe, et du feu de bois son prix de revient. « En prenant appui sur les poèmes précis, vous direz comment vous comprenez ce propos du poète Benjamin Péret (1899-1959) et vous l'apprécierez.
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- "A mes yeux, détient une parcelle de poésie tout être capable d'évoquer spontanément les sentiers d'une forêt verdoyante devant un feu de bois... N'est donc pas étranger à la poésie celui qui, même placé à ras de terre, découvre à toute chose son aspect céleste, en opposition à celui qui, de la femme ne retient que le sexe, et du feu de bois que son prix de revient." En prenant appui sur des poèmes précis, vous direz comment vous comprenez ce propos du poète Benjamin Péret (1899-1959)
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