A l'aide d'exemples tirés de vos lectures ou puisés dans d'autres domaines artistiques, vous commenterez et vous discuterez ces propos d'Alfred de Vigny, dans la préface de son roman Cinq-Mars...
Publié le 27/04/2011
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A l'aide d'exemples tirés de vos lectures ou puisés dans d'autres domaines artistiques, vous commenterez et vous discuterez ces propos d'Alfred de Vigny, dans la préface de son roman Cinq-Mars : « A quoi bon les Arts, s'ils n'étaient que le redoublement (...) de l'existence ? Eh ! bon Dieu, nous ne voyons que trop autour de nous la triste et désenchanteresse réalité : la tiédeur insupportable des demi-caractères, des ébauches de vertus et de vices, des amours irrésolues, des haines mitigées, des amitiés tremblotantes, des doctrines variables, des fidélités qui ont leur hausse ou leur baisse, des opinions qui s'évaporent ; laissez-nous rêver que parfois ont paru des hommes plus forts et plus grands, qui furent des bons ou des méchants plus résolus ; cela fait du bien. Si la pâleur de votre vrai nous poursuit dans l'Art, nous fermerons ensemble le théâtre et le livre pour ne pas le rencontrer deux fois. « Alfred de Vigny, Réflexions sur la vérité dans l'art, préface, 1827, à Cinq-Mars, 1826.
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- En préface à un recueil de textes de critique littéraire, Tout feu, tout flamme, Jean-Louis Bory écrit: « Curieux métier que le métier de professeur. Le public le plus vivant qui soit (le plus égocentrique aussi), nous devons l'intéresser coûte que coûte au commerce des morts. Par chance, ces morts-là sont bien plus vivants que bien des vivants. Il ne s'agit plus que d'en persuader les jeunes vivants qui nous écoutent. » Vous commenterez et, au besoin, discuterez ce propos, en vous fon
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